Jeune journaliste à l’œuvre : La chronique de Thomas

Par Thomas Gagnon

Peu de victimes du coronavirus au Québec
Si je me fie à ce que je lis et entends au Québec actuellement, notre système de santé est déjà préparé à faire face au coronavirus qui a été découvert au début du mois de décembre dans la ville chinoise de Wuhan. On n’a pas hésité à placer en quarantaine des gens qui revenaient de voyages en Chine et d’autres pays identifiés comme dangereux.

En plus, la plupart des personnes sont vigilantes et surveillent l’apparition de symptômes comme la toux et la fièvre. Tout le monde sait qu’il faut se laver les mains très souvent.

Finalement, les chercheurs d’ici travaillent avec les médecins chinois qui ont testé un vaccin qui a guéri des personnes atteintes. On devrait donc au Québec être capables de soigner les personnes qui attraperont le coronavirus.

La crise du blocus autochtone m’inquiète
La crise du blocus autochtone qui a eu lieu en février dernier au Canada me préoccupe.  D’après moi, elle a été causée par les Premières Nations qui manifestent pour défendre leur territoire, mais celle-ci a des impacts sur l’économie.

Par exemple, je me suis entretenu avec le propriétaire de la scierie Lapointe et Roy de Courcelles. Il m’a dit que plusieurs scieries ont dû fermer parce qu’elles ne peuvent pas expédier la planche. Les trains ne peuvent pas non plus transporter les billots à la scierie. Donc il manque de bois pour faire de la planche et d’autres produits. Pas étonnant que le prix du bois d’œuvre augmente !

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